21 décembre 2009

Collection de kekos

L'autre jour, je cherchais désespérément le rouleau de scotch pour fixer les guirlandes ou faire un paquet, je ne sais plus. J'ai enfin eu un flash : ah, le tiroir à couverts, bien sûr (ou plutôt devrais-je dire tiroir à instruments : machette, baguettes, pailles, etc.). Je l'ouvre et à ma grande tristesse, je tombe sur notre bébé keko qu'on avait adopté depuis une semaine déjà, et qu'on espérait voir grossir à vue d'oeil. Et bien c'en est fini de cette pauvre bestiole qui zigzaguait sur le plafond et entre les placards. Ca m'a rappelé ces rouleaux qui servent à coller les mouches que Rozenn petite m'avait mis dans les cheveux pour épilation expérimentale rapide.

Voici une photo de notre keko (type de lézard qu'Alberto appelle ainsi, je n'ai pas vérifié le nom officile) mort, au milieu de son lit de couverts.

3 commentaires:

  1. Que le geko repose en paix.
    C'est ce qu'on appelle "être scotché" ...

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  2. En Guinée Bissau, j'en avais un aussi dans mon bureau. Il est fini assassiné par l'appareil de climatisation, sans que je puisse rien faire pour lui. (En fait, tu sais, je ne suis pas très amie des bestioles) Ma voisine Giovanna en avait un dans son appart, qu'elle n'aimait pas et elle l'a nommé Hiro, comme son chef... Quelle mauvaise fin pour un keko vietnamien...

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  3. Et il n'y en a pas au Brésil de kekos???
    Chez nous, les bestioles ne meurent pas dans la clim', elles en tombent. Les cafards et petits geckos, du moins. Alors on fait attention de ne pas s'asseoir dessous!

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